AlpinBike Lac d’Annecy

Deux ans après 2020, je reviens sous le soleil de St-Jorioz pour l’une des plus belles épreuves du calendrier entre lac et moyenne montagne. Depuis deux ans le parcours est légèrement modifié avec une deuxième partie qui évite le col des Prés ou le Mont Revard : autant dire que l’essentiel de la course va se jouer dès le Semnoz, gravi d’entrée. Comme à l’image de la semaine les sensations ne sont pas extraordinaires ; on fera avec, au moins la météo est parfaite et on profitera un minimum du paysage 🙂 Après quelques minutes de consignes sécurité Ludovic Valentin donne le traditionnel départ depuis la plage de St-Jorioz, neutralisé jusqu’à la sortie de la ville.

Continuer la lecture

Madeleine

Après une édition 2021 particulièrement froide et humide -et à moitié ratée pour ma part- j’ai à cœur de prendre ma revanche sur cette nouvelle édition de la Madeleine, une cyclosportive très montagneuse, très difficile dans un massif qui me réussit plutôt bien. Au sein d’un été particulièrement sec et caniculaire, la météo s’annonce chaude et ensoleillée : tous les signaux sont au vert, avec une forme ascendante si j’en crois les dernières sorties à l’entraînement. Pas très bien placé dans le sas de départ je reconnais au loin les habitués et futurs protagonistes du groupe de tête : Loïc Ruffaut (deuxième à la Marmotte Valais la veille), Cédric Richard, David De Vecchi, Antoine Boudsocq, Stefano Sala… et un gros collectif GranfondoTeam.be même si je ne reconnais pas tout le monde

Continuer la lecture

Trilogie de Maurienne #3

Dernière étape de cette trilogie et pas des moindres : comme en 2019 l’organisation nous a concocté un parcours très corsé, avec 135 km et 4600 m de dénivelé les écarts risquent d’être conséquents. Il fait encore très beau et la température est déjà agréable en vallée : un coupe-vent suffira. Les départs des différents parcours étant décalés, le peloton est de taille relativement modeste et plutôt tranquille au moment en sortant de la Tour-en-Maurienne. Du premier au dernier chacun connaît l’ampleur du chantier du jour, et personne ne tente une attaque boomerang dans le bout de vallée avant St-Etienne-de-Cuines, à peu près le seul endroit plat du parcours.

Continuer la lecture