Le nom change, le principe reste le même : l’Arvan-Villards devient Trilogie de Maurienne et propose trois étapes avec de belles ascensions autour de St-Jean-de-Maurienne. Nous démarrons justement de ce carrefour de la vallée de l’Arc, pour cette première étape en direction du col de la Madeleine via le col du Chaussy. Pendant l’échauffement je reconnais les protagonistes de l’an passé : Stéphane Cognet, Cédric Richard, Tim Alleman… ainsi que d’autres habitués comme William Turnes. Autant dire que ça risque d’aller vite dès les lacets de Montvernier, avec d’autres coureurs étrangers également très bons grimpeurs.
Grimpée de Chamrousse
Après deux mois de week-ends cyclosportifs bien montagneux, il est temps de faire un mini-break et changer de registre pour repartir du bon pied sur juillet-août. Le timing de la grimpée de Chamrousse est idéal de même que la météo : ce sera à la fois l’occasion de réaliser un chrono de référence sur cette ascension que je pratique peu à l’entraînement, mais aussi d’affiner mon profil de puissance sur plus de 45′. Bref, j’essaie de me présenter frais au départ et soigne l’échauffement pour être prêt à l’allumage.
Ariégeoise
Deux ans après la Lapébie, je reviens dans les Pyrénées pour terminer un mois de juin particulièrement montagneux. Aujourd’hui c’est à Tarascon-sur-Ariège que ça se passe, au départ d’une épreuve réputée et populaire : l’Ariégeoise. Plus de 5000 engagés sur les différents parcours proposés, l’organisation est imposante et rodée sous une météo annoncée très chaude. Le parcours XXL propose quelques cols méconnus mais très pentus, sur des petites routes et des descentes compliquées à gérer avec en point d’orgue l’ogre local : le plateau de Beille qui n’a rien à envier à l’Alpe d’Huez, bien au contraire 🙂 En première ligne dans le sas prioritaire je ne reconnais personne à part Sébastien Pillon (habitué aux places d’honneur sur cette épreuve) et Simon Carr (récent vainqueur de la grimpée du plateau de Beille), tous deux interviewés par le speaker.