Grimpée de Chamrousse

Comme souvent il fait grand soleil et la température est agréable à Chamrousse pour la traditionnelle grimpée de juillet. Malgré la concurrence de l’Etape du Tour le lendemain, c’est un joli succès pour l’organisateur (Grenoble Métropole Cyclisme 38) avec près de 120 concurrents au départ. L’échauffement se fait dans la fraîcheur en venant tranquillement à vélo ; sur place je retrouve mes adversaires habituels : un fort contingent grenoblois mené par le tenant du titre Vincent Reyboz, Arnaud Feodoroff, Laurent Derain, Julien Gaillard… J’espère être dans le match tout à l’heure et mesurer les bénéfices de quelques semaines de PMA à l’entraînement (sensées me donner davantage de punch).

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Trilogie de Maurienne #3

Dernière étape de cette trilogie et pas des moindres : comme en 2019 l’organisation nous a concocté un parcours très corsé, avec 135 km et 4600 m de dénivelé les écarts risquent d’être conséquents. Il fait encore très beau et la température est déjà agréable en vallée : un coupe-vent suffira. Les départs des différents parcours étant décalés, le peloton est de taille relativement modeste et plutôt tranquille au moment en sortant de la Tour-en-Maurienne. Du premier au dernier chacun connaît l’ampleur du chantier du jour, et personne ne tente une attaque boomerang dans le bout de vallée avant St-Etienne-de-Cuines, à peu près le seul endroit plat du parcours.

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Trilogie de Maurienne #2

Le ciel est limpide ce matin pour grimper au Galibier via le Télégraphe ; ce sera le défi du jour pour cette deuxième étape de la trilogie de Maurienne. La température est idéale au moment de me rendre au départ, où je retrouve certains rescapés de la veille et quelques nouvelles têtes dont Alexandre Martin ou Julien Gaillard. Les jambes sont encore un peu dures de la veille mais je compte sur la longue procession neutralisée jusqu’à St-Michel-de-Maurienne pour débloquer tout ça. En attendant on discute tranquillement derrière la voiture et les motos ouvreuses, jusqu’au pied du col du Télégraphe où nous patientons quelques minutes, que le départ réel soit enfin donné.

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