Grimpée de Murianette

Après un week-end sans compétition, j’entame la dernière ligne droite de la saison : d’ici octobre pas moins de six montées chronométrées sont au programme autour de Grenoble, dont la première à Murianette. Un exercice individuel que j’ai appris à dompter au fil des saisons, avec quelques points de repère. La météo est chaude et ensoleillée cet après-midi, même s’il y a davantage de vent que d’habitude. L’échauffement se fait tranquillement sur le trajet, partant à 15h01 j’ai le temps de discuter avec les collègues en prenant ma plaque et me rends compte qu’il faudra une excellente performance pour monter sur le podium, avec toujours l’objectif de descendre sous les 27′ 😉

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Grimpée de Chamrousse

Comme souvent il fait grand soleil et la température est agréable à Chamrousse pour la traditionnelle grimpée de juillet. Malgré la concurrence de l’Etape du Tour le lendemain, c’est un joli succès pour l’organisateur (Grenoble Métropole Cyclisme 38) avec près de 120 concurrents au départ. L’échauffement se fait dans la fraîcheur en venant tranquillement à vélo ; sur place je retrouve mes adversaires habituels : un fort contingent grenoblois mené par le tenant du titre Vincent Reyboz, Arnaud Feodoroff, Laurent Derain, Julien Gaillard… J’espère être dans le match tout à l’heure et mesurer les bénéfices de quelques semaines de PMA à l’entraînement (sensées me donner davantage de punch).

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Trilogie de Maurienne #2

Le ciel est limpide ce matin pour grimper au Galibier via le Télégraphe ; ce sera le défi du jour pour cette deuxième étape de la trilogie de Maurienne. La température est idéale au moment de me rendre au départ, où je retrouve certains rescapés de la veille et quelques nouvelles têtes dont Alexandre Martin ou Julien Gaillard. Les jambes sont encore un peu dures de la veille mais je compte sur la longue procession neutralisée jusqu’à St-Michel-de-Maurienne pour débloquer tout ça. En attendant on discute tranquillement derrière la voiture et les motos ouvreuses, jusqu’au pied du col du Télégraphe où nous patientons quelques minutes, que le départ réel soit enfin donné.

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